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Le palmarès 2018 des villes de France les plus attractives pour le business
Par Caroline Brun et Stéphanie Condis le 09.11.2018 à 10h00
Au moment de choisir le territoire le plus adapté à leurs investissements, les entrepreneurs doivent prendre en compte des problématiques transversales, résumées ici en dix mots-clés: de A, comme accélérateur, à V, comme vivier…
Pour la deuxième année consécutive, Lyon se classe en tête des très grandes métropoles françaises dans le baromètre Arthur Loyd.
FRÉDÉRIC DUCARME
Alors que le gouvernement essaie de renouer avec les territoires, les exécutifs locaux lui reprochant à la fois sa politique fiscale et ses intentions jacobines, les entreprises doivent composer avec un univers incertain : où investir ? Quelle métropole sera la plus " pro business " dans mon secteur ? Quel est l'endroit idéal pour créer, implanter ou développer mon entreprise ? La compétition entre les grandes villes pour attirer start-up, TPE, PME, ETI ou grands groupes, et donc pour concentrer les emplois, n'est pas seulement régionale, mais internationale. Le Brexit, notamment, rebat les cartes et donne une nouvelle opportunité aux métropoles françaises de faire valoir leurs avantages comparatifs et leurs atouts intrinsèques. Ils varient, bien sûr, selon le profil des investisseurs…
Pour donner une grille d'analyse efficace, Challenges s'est associé à Arthur Loyd et publie en exclusivité la deuxième édition de son baromètre sur l'attractivité et le dynamisme des métropoles françaises. Fondé en 1984, Arthur Loyd est un large réseau national de conseil en immobilier d'entreprise. Mais son enquête dépasse largement les données concernant les mètres carrés de bureaux : organisée en quatre grands thèmes qui vont des performances économiques à la qualité de vie (lire tableau ci-contre), elle brasse 75 indicateurs pour évaluer la vitalité des différentes aires urbaines. Une alchimie subtile entre dynamisme démographique, présence de talents, potentiel d'innovation, accessibilité et ouverture à l'international.
L'évolution des résultats, par rapport à l'étude de 2017, confirme la métropolisation de l'économie française et mondiale. Parmi les très grandes métropoles, le trio de tête (Lyon, Toulouse, Bordeaux) maintient ses positions, mais les classements thématiques font apparaître des changements parmi les forces et faiblesses de ces capitales régionales respectives (lire tableau ci-contre). Du côté des grandes métropoles, on remarque plus de mouvements : certes, Nantes garde sa position de leader et Grenoble sa troisième place, mais, en 2018, Rennes détrône Montpellier sur la deuxième marche du podium. Et parmi les villes intermédiaires, les surprises sont légion !
DIX BALISES POUR ORIENTER SES CHOIX
Accélérateur
Un bon accompagnement est essentiel pour les start-up, TPE et PME qui souhaitent se développer. De nombreux accélérateurs fleurissent dans toute la France pour créer les conditions de la croissance et de la réussite. Par exemple " Medef accélérateur d'investissement " ou bien " Village by CA ", 27 accélérateurs lancés par le Crédit agricole, qui va en déployer prochainement 14 supplémentaires. Mais aussi les " accélérateurs PME " régionaux de Bpifrance, la banque publique d'investissement : en Nouvelle-Aquitaine, Grand Est, Centre-Val de Loire, Pays de la Loire, Ile-de- France, Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d'Azur, où le premier accélérateur de ce genre fut créé, début 2016. Celui-ci va d'ailleurs accueillir sa troisième " promotion " d'entreprises, au printemps prochain et pour un an : 15 PME en forte croissance, au chiffre d'affaires de 25 millions d'euros en moyenne, qui pourront ainsi passer à la vitesse supérieure et peut-être devenir les ETI de demain. Elles viennent de secteurs économiques très diversifiés, mais font face aux mêmes problématiques et challenges. D'où un soutien sous plusieurs formes, du diagnostic à 360 degrés pour identifier des leviers de croissance de chacune (marketing, innovation, international, etc.) au mentorat avec un chef d'entreprise expérimenté, en passant par l'expertise opérationnelle et la mise en réseau.
Cluster
S'appuyer sur un puissant écosystème régional ou une ville au tissu économique solide et solidaire est un véritable atout pour développer ou créer une entreprise. Cela peut passer par l'intégration d'un cluster. Ce terme anglais signifie " grappe " et désigne un réseau local plus ou moins structuré de TPE ou PME, souvent sur un même créneau de production, qui rassemble les énergies et permet, par exemple, de " chasser en meute " à l'étranger. Le cluster s'élargit aussi à d'autres acteurs indispensables à son essor. Ainsi, une start-up dans le domaine des medtechs ne s'épanouit qu'avec le soutien d'un CHU et de laboratoires universitaires. A l'instar de Neurallys, qui existe depuis 2014 et se concentre sur le traitement de l'hypertension intracrânienne. " Je suis normand et j'ai choisi de me lancer à Caen pour son important pôle universitaire et médical dans le quartier du Plateau Nord, raconte Philippe Auvray, président de la société. J'y bénéficie d'équipements de pointe, de compétences pluridisciplinaires et de celles de professeurs de médecine mondialement connus pour les pathologies concernées par nos dispositifs, ou encore d'infrastructures d'enseignement supérieur et de recherche. "
Evergreen (fonds)
L'argent, le nerf de la guerre économique… Les start-up, TPE et PME ont besoin d'attirer financements et investissements, mais aussi de se projeter sur le long terme… D'où l'intérêt du " capital patient " ou fonds evergreen, sans durée de vie limitée, comme il en existe beaucoup dans les pays d'Europe du Nord. " En France, ce sont surtout les banques qui proposent cette solution, rappelle Fanny Letier, qui vient de cofonder Geneo, capital entrepreneur spécialisé dans les fonds evergreen. C'est pourquoi nous avons créé une structure d'investissement d'ETI familiales et autres entrepreneurs régionaux bâtisseurs de long terme, qui se met au service des pépites locales cachées avec un fort potentiel de croissance. Nous voulons les aider à décoller, car elles constituent une formidable réserve de création de valeur et d'emplois. Il faut permettre à ces PME de briser le plafond de verre et d'arriver à la taille critique, en activant tous les leviers de la croissance durable. L'objectif est qu'elles deviennent ainsi leaders sur un segment, y compris à l'international. " Ancienne de Bpifrance et auteure de l'ouvrage Comment doubler la taille de votre entreprise. Carnet de croissance pour dirigeant de PME-ETI (Eyrolles), Fanny Letier propose également, à travers Geneo, un accompagnement des sociétés émergentes, les ressources dont elles ont besoin étant aussi humaines…
Filière d'excellence
Plus larges et plus transversales que les clusters, les filières d'excellence structurent les économies régionales et métropolitaines, les rendent visibles et attrayantes. Elles constituent des leviers de développement sur lesquels peuvent s'appuyer les entreprises qui s'inscrivent dans la spécialisation sectorielle d'une filière ou bien qui la complètent. " Cela crée une émulation économique et valorise une histoire locale, un patrimoine existant, précise Antoine Colson, créateur du salon Parcours France, rendez-vous des projets en région et de l'attractivité des territoires français, qui s'est tenu les 4 et 5 octobre à Paris. Ainsi, l'agglomération lilloise se développe aujourd'hui grâce à l'e-commerce, après avoir été un pôle majeur pour la vente à distance et la grande distribution. Limoges aussi renouvelle son savoir-faire ancien autour de la porcelaine et de la céramique, qui sont devenues high-tech et utilisées dans la pharmacie et l'aérospatiale. Il y a aussi des exemples hors des villes, comme la filière bois dans les Vosges, l'industrie du cuir en Dordogne, la plasturgie dans l'Ain, etc. " Les pouvoirs publics locaux ont compris l'importance des filières d'excellence : ils jouent le rôle de facilitateurs et de connecteurs entre les différents acteurs, les entrepreneurs pouvant alors plus facilement surfer sur cette vague de fond.
Guichet unique
Trop de contraintes et de complexités administratives… Les entrepreneurs ont besoin d'être accompagnés, pas entravés : " Il y a toujours un papier qu'on ne savait pas qu'il fallait rendre, un nouveau service à contacter… ", se plaint l'un d'entre eux. " Je suis un militant du guichet unique, comme celui qui existe dans les Hauts-de-France, c'est pour cela que j'y suis resté, se félicite Bruno Pierre, cofondateur, en 2009, d'ABCD Nutrition, spécialiste des produits bio et sans gluten. Je n'ai pas le temps de frapper à toutes les portes pour trouver des réponses à mes problématiques techniques, logistiques, financières, immobilières, de ressources humaines, etc. Heureusement, je peux compter sur Agro-Sphères, à Amiens. " Cette association des entreprises et des acteurs de l'agroalimentaire favorise le développement et l'implantation dans la région des sociétés de ce secteur d'activité. " Sans son aide, ABCD Nutrition n'aurait pas connu une telle croissance, souligne le PDG. J'ai été, par exemple, guidé pour trouver mes trois sites de production, qui comptent, à présent, 180 salariés. " Les territoires ont bien compris l'intérêt de créer ces guichets uniques, qui se multiplient partout en France.
Haliotropisme
L'attirance vers les littoraux ne concerne pas que les populations… Les entreprises prennent de plus en plus en compte la qualité de vie au moment de faire le choix de leur lieu d'implantation. Comme bySTAMP, start-up née en 2016 qui a lancé un tampon électronique connecté pour valider, certifier et authentifier des documents directement sur smartphones et tablettes : " Ma famille est installée à Vannes, dans le Morbihan, précise Yann Le Bail, son président. J'ai choisi d'installer ma société dans cette cité balnéaire plutôt qu'à Nantes ou Rennes, car les conditions de vie et l'environnement y sont encore plus agréables. J'ai l'impression d'être en vacances… mais on n'est pas à Palo Alto ! " Au stade où en est son entreprise, il trouve encore toutes les ressources nécessaires en Bretagne ou, plus largement, dans le Grand Ouest, bien doté en matière d'industrie électronique. Mais il risque de rencontrer des difficultés pour recruter à l'avenir, la ville étant de taille moyenne…
C'est pour éviter ce genre de problèmes que Mehdi Halitim a choisi Marseille plutôt que Dunkerque, dont il est originaire, pour créer, en 2017, sa start-up Smart'N'Go, plateforme de solutions informatiques pour le transport maritime avec logiciel de routage permettant de réduire la consommation de carburant et les émissions polluantes. " Outre le fait que Marseille est le plus grand port français pour le transport de marchandises par porte-conteneurs, et Dunkerque troisième, il s'avère plus simple de faire venir des ingénieurs au bord de la Méditerranée que de la mer du Nord ! " Lui-même n'ayant pas résisté … à l'héliotropisme.
Internationalisation
Avoir les pieds bien ancrés sur le territoire français et la tête dans la mondialisation : c'est le credo de nombreux champions des régions, dont l'internationalisation est incontournable pour soutenir la croissance. Une ouverture grandement facilitée par certaines métropoles, particulièrement bien connectées avec l'étranger. A l'image de Lyon, où Eric Lavost, ex-banquier d'affaires longtemps expatrié, a fondé Eazylang, plateforme utilisant intelligence artificielle et deep tech pour mettre en relation les besoins en traduction des entreprises ou collectivités locales et les compétences professionnelles les mieux adaptées en la matière : " Après Paris, c'est la métropole lyonnaise qui est la plus internationale : connexions de transport, présence de sociétés étrangères ou exportation des activités locales… Non seulement, c'est un tremplin pour notre développement, mais c'est aussi un important marché pour nous, puisque nous y rencontrons de nombreux clients désireux de faire traduire divers documents dans une démarche d'internationalisation. " Et si elle reste basée dans la capitale des Gaules, Eazylang est en train de se déployer dans toute la France.
LGV
L'effet " ligne à grande vitesse " (LGV) s'accentue à Rennes et Bordeaux depuis l'été 2017, avec des TGV encore plus rapides dans les allers-retours avec Paris. Mais il concerne aussi d'autres villes, comme Le Mans, privilégié pour cette raison par Guillaume Richard, président fondateur du groupe Oui Care, leader des services à domicile en France : " Pour installer mon siège social en région, il me fallait répondre à deux besoins essentiels : un bon débit Internet plus des liaisons ferroviaires rapides et régulières avec un aéroport international et avec Paris, où je me rends chaque semaine et où résident mon directeur général et ma directrice marketing. Or Le Mans est à 55 minutes de la capitale en TGV, à 40 minutes de Rennes et à 25 minutes de Laval. La cité mancelle s'avère aussi bien connectée à Angers, où habite mon directeur financier, et Tours, où vit mon directeur des systèmes d'information. " Avec son bureau à 5 minutes de la gare du Mans et son domicile dans un environnement bucolique, Guillaume Richard vante sa qualité de vie.
Pépite(s)
Le terme, qui évoque des trésors d'innovation et de croissance, se décline sous plusieurs formes quand il s'agit d'investissement en région. Par exemple, le programme Pépites de la métropole lyonnaise, destiné, depuis 2011, aux PME au potentiel de développement élevé. C'est aussi l'acronyme de " pôles étudiants pour l'innovation, le transfert et l'entrepreneuriat " : Pépite est le premier réseau des étudiants et jeunes diplômés créateurs ou repreneurs d'entreprise, avec 30 implantations sur tout le territoire français. Parmi les 6 000 porteurs de projet recensés depuis quatre ans, Matthieu Lecuyer, cofondateur de la start-up R-Pur, qui produit, en France, des masques antipollution haut de gamme associés à une application mobile indiquant quand changer le filtre selon la durée, le lieu et le type d'utilisation (cyclistes, motards, joggeurs, etc.). " Nous faisons partie de la promotion 2017 de Pépite, dispositif qui nous a donné accès à un réseau, un mentor, des prêts d'honneur, espaces de coworking, cours théoriques sur le business plan, la fiscalité, le marketing… " Un accompagnement qui a servi de tremplin à cette start-up innovante aujourd'hui hébergée par la célèbre Station F, à Paris.
Vivier
Le bassin d'emploi est souvent le premier critère pris en compte par les entrepreneurs pour déterminer où démarrer leur activité. Il est vital de trouver la main-d'œuvre formée, disponible, diversifiée et/ou spécialisée en adéquation avec les besoins de recrutement… Attirer les talents et les profils diplômés est également un enjeu capital pour les territoires : il repose sur la diversité des universités et autres établissements d'enseignement supérieur et sur le soutien à la formation continue. Mais aussi sur les filières d'excellence, comme celle autour de l'aéronautique et l'aérospatiale dans le grand Sud-Ouest, observe François Antarieu, associé du cabinet d'audit PwC France : " En Nouvelle-Aquitaine et Occitanie, cela représente 100 000 emplois au sein de PME, ETI et grands groupes, tel le leader mondial Airbus, souvent regroupés dans le pôle de compétitivité Aerospace Valley. " Sa puissance dépasse largement le cadre national puisque ce pôle constitue le premier bassin d'emplois européen pour l'aéronautique, l'espace et les systèmes embarqués. Il rassemble un tiers des effectifs aéronautiques français et plus de la moitié dans le domaine spatial. Un incontournable vivier pour qui veut se lancer dans ces secteurs.
Baromètre Arthur Loyd 2018 sur l'attractivité et le dynamisme des métropoles régionales
Excluant Paris, hors catégorie, le baromètre porte sur 45 aires urbaines : des agglomérations au sens large, incluant leur couronne périurbaine. L'intégralité des très grandes et des grandes métropoles françaises y figure, et 70% des métropoles intermédiaires. Les statistiques traitées viennent d'une vingtaine de sources officielles (Insee, Eurostat, etc.) ou en open data. Les données sur les marchés immobiliers tertiaires sont issues de la base d'Arthur Loyd. Au total, 75 indicateurs statistiques quantitatifs, avec différentes pondérations, se répartissent en quatre thématiques : 17 pour les performances économiques ; 8 pour l'immobilier et l'accueil des entreprises ; 22 en " connectivité, capital humain et innovation " ; 28 concernent la qualité de vie. Pour l'intégralité de l'enquête, y compris les villes de taille moyenne non citées dans notre dossier : http://www.arthur-loyd.com
CLASSEMENT DES 6 TRÈS GRANDES MÉTROPOLES (plus d'1 million d'habitant)
LYON
1er
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CLASSEMENT FINAL BAROMÈTRE 2018
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2e
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Performances économiques
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1er
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Immobilier et accueil des entreprises
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2e
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Connectivité, capital humain et innovation
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2e
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Qualité de vie
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La pole position pour l'accueil des entreprises repose sur un solide marché de bureaux. Le deuxième rang en " Connectivité, capital humain et innovation " cache une première place dans les sous-catégories ouverture à l'international, potentiel d'innovation et infrastructures nationales de transport.
TOULOUSE
2e
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CLASSEMENT FINAL BAROMÈTRE 2018
|
1er
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Performances économiques
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4e
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Immobilier et accueil des entreprises
|
1er
|
Connectivité, capital humain et innovation
|
4e
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Qualité de vie
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La ville est en tête des thématiques performances économiques et " Connectivité, capital humain et innovation " grâce à une première place en dynamisme démographique ou en bilan et dynamique économiques. Mais aussi en étant deuxième en potentiel d'innovation et troisième pour l'ouverture internationale.
BORDEAUX
3e
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CLASSEMENT FINAL BAROMÈTRE 2018
|
3e
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Performances économiques
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2e
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Immobilier et accueil des entreprises
|
3e
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Connectivité, capital humain et innovation
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1er
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Qualité de vie
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La pole position pour la qualité de vie s'appuie sur une première place en santé et sécurité, ainsi qu'un deuxième rang pour le cadre environnemental. Première dans la sous-catégorie " performance du marché immobilier tertiaire ", la ville obtient donc un bon résultat dans l'accueil des entreprises.
LILLE
4e
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CLASSEMENT FINAL BAROMÈTRE 2018
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4e
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Performances économiques
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3e
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Immobilier et accueil des entreprises
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4e
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Connectivité, capital humain et innovation
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6e
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Qualité de vie
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La troisième place pour l'accueil des entreprises provient d'une bonne performance du marché immobilier tertiaire. Le sixième rang en matière de qualité de vie masque des résultats satisfaisants dans les souscatégories mobilité locale (la ville est classée première) et coût du logement (troisième).
MARSEILLE - AIX-ENPROVENCE
5e
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CLASSEMENT FINAL BAROMÈTRE 2018
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5e
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Performances économiques
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5e
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Immobilier et accueil des entreprises
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5e
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Connectivité, capital humain et innovation
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3e
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Qualité de vie
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Pour sa troisième place en qualité de vie, l'aire urbaine peut compter sur plusieurs points forts : deuxième rang pour les sous-catégories " coût du logement " mais aussi " offre culturelle et enseignement supérieur ", troisième position pour le cadre environnemental ou en matière de santé et sécurité.
NICE
6e
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CLASSEMENT FINAL BAROMÈTRE 2018
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6e
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Performances économiques
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6e
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Immobilier et accueil des entreprises
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6e
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Connectivité, capital humain et innovation
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5e
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Qualité de vie
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Absente du trio de tête pour la qualité de vie à cause du coût du logement, la ville se classe pourtant bien dans d'autres sous-catégories de cette thématique : première en cadre environnemental, deuxième en santé et sécurité, troisième en mobilité locale. Mais aussi deuxième en ouverture internationale.